Fluide solaire caloporteur antigel destiné à la protection des circuits de panneaux solaires thermiques.
Disponible en bidons de 20 litres, fût de 210 litres et container de 1000 litres pré-dosé - 23°C. Fluide à base de Mono Propylène Glycol prêt à l'emploi ou concentré à diluer selon la température antigel de protection désirée.
Le liquide caloporteur antigel est certifié et adapté pour des hautes températures parfaitement compatible avec les systèmes solaires thermiques comme les chauffe-eau solaire et systèmes de chauffage solaire combiné ainsi que pour les circuits de plancher chauffant basse température et pour la géothermie.
À quoi sert le liquide caloporteur pour circuit de panneaux solaires ?
Dans les pays où il gèle, la chaleur du panneau solaire est transmise à l'eau du ballon sanitaire via un circuit indépendant à l'aide d'un liquide caloporteur. Choisir un fluide approprié est donc primordial pour assurer le bon fonctionnement de votre installation solaire.
Composition des fluides caloporteurs
Il est aujourd’hui établi qu’un liquide caloporteur composé d’eau et de glycol est efficace pour répondre au cahier des charges d'un système de chauffage solaire. Le plus utilisé pour les circuits de panneaux solaires est le mono propylène-glycol.
Les propriétés des liquides caloporteurs
Ces fluides solaires doivent :
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rester stable en température ;
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avoir des propriétés antigel ;
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protéger de la corrosion ;
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disposer d'une conductivité thermique suffisamment élevée pour transférer efficacement la chaleur ;
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répondre à des normes sanitaires et écologiques : ne pas être toxique et présenter un impact faible sur l'environnement ;
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disposer d'une faible viscosité pour minimiser le travail de la pompe qui le fait circuler.
Comment choisir un liquide caloporteur solaire
Pour obtenir un fonctionnement optimisé du système solaire, le liquide caloporteur doit être choisi avec soin : avec une teneur en glycol de 40 % maximum pour fonctionner jusqu'à −24 °C, il s'utilise ainsi dans de nombreuses zones géographiques jouissant d'un climat tempéré.
Il faudra aussi procéder à quelques vérifications :
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que le circuit n’a aucune fuite ;
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que les matériaux composant le système de chauffage solaire sont compatibles avec le liquide caloporteur : par exemple le zinc et certaines colles ne le sont pas ;
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que la température maximale atteinte par les capteurs solaires ne dépasse pas les seuils préconisés par les constructeurs.